La firme néerlandaise SPL Medical annonçait il y a quelques semaines de nouveaux résultats issus de son étude de phase III PROSTAPROGRESS. Cette étude, menée dans des centres universitaires en Allemagne, aux Pays-Bas, en Belgique et en Suisse, s’est conclue en janvier 2025 et visait à évaluer la précision diagnostique de l’IRM avec injection de Ferumoxtran comme agent de contraste pour la détection des ganglions lymphatiques chez des patients atteints d’un cancer de la prostate.
Bilan plus précis
Selon SPL Medical, l’étude a confirmé les critères principaux : « L’analyse post-hoc a confirmé la capacité de l’IRM au Ferumoxtran à détecter de petites métastases intraganglionnaires dans des ganglions de taille normale chez les patients atteints d’un cancer de la prostate, rendant ainsi le bilan ganglionnaire plus précis », assure l’entreprise. « Le Ferumoxtran appartient à la classe des USPIO (particules d’oxyde de fer ultra petites et superparamagnétiques), rappelle la société. La dose admi
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article