Parmi les thèmes des 3es journées francophones de médecine nucléaire (JFMN), la neuro-oncologie a bénéficié d'une session dédiée avec l'intervention de trois spécialistes de la discipline. Chacun a présenté son point de vue concernant la prise en charge des patients atteints de tumeurs cérébrales et décrit l'apport de l'imagerie médicale et métabolique. Pour Elodie Vauleon, neuro-oncologue au centre Eugène-Marquis de Rennes, l'IRM multimodale est un outil efficace qui présente cependant quelques limites: « L'IRM multimodale nous aide mais cela ne fait pas tout, déclare-t-elle. Si la lésion est proche de la base du crâne, de la voûte ou du cortex, les interprétations sont plus difficiles, et si la lésion est de petite taille, pour une résolution spatiale c’est également plus compliqué. S’il y a un hématome présent, parfois la tumeur saigne spontanément et il est plus difficile de faire la part des choses. » Pour l'intervenante, la spectroscopie a aussi ses limites, notamment en fonction
Oncologie
Une approche multimodalités dans la prise en charge des tumeurs cérébrales
Les Journées francophones de médecine nucléaire ont consacré leur session du 19 mai à l'imagerie métabolique dans la prise en charge des tumeurs cérébrales. L'intervention d'une neuroradiologue, d'un neurochirurgien et d'une neuro-oncologue ont permis un approche multidisciplinaire.
Elisabeth Calvier, neuroradiologue au CHU de Nantes, a analysé l'emploi de la spectroscopie dans la prise en charge des tumeurs cérébrales. © C. F.
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Auteurs
Carla Ferrand
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