Organisation territoriale

Au RAD 2024, le casse-tête du territoire de santé radiologique

Comment définir un territoire et ses besoins dans le domaine des soins radiologiques ? C'est à cette problématique complexe que se sont attelés le sous-directeur de l'accès aux soins et du premier recours à la DGOS Mickael Benzaqui, puis le président du G4 Louis Boyer lors des rencontres RAD 2024 à Angers.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 27/06/24 à 7:00 Lecture 4 min.

« On a proposé à la DGOS le principe des unités de soins radiologiques, accepté par Katia Julienne [directrice de la DGOS entre 2019 et 2022, NDLR] », révèle Louis Boyer (photo d'illustration). D. R.

Le territoire de santé s'est imposé aux professionnels de santé et aux décideurs comme la notion de base pour penser et adapter l'offre de soins aux besoins de la population. Toutefois, ce terme n'est pas clairement défini dans la loi, qui se borne à indiquer que « l'agence régionale de santé définit les territoires de santé pertinents ». À l'occasion de la sixième édition de l'évènement Radiologie aujourd'hui et demain (RAD), le vendredi 24 mai à Angers (49), le président du G4 est donc intervenu pour évoquer le projet de soins radiologiques d'un territoire, lors d'une session dédiée à la définition des besoins d'un territoire en radiologie.

De nombreux critères à prendre en compte

Malgré les réformes successives utilisant le terme territoire, « on ne sait toujours pas quelles sont ses limites », commence Louis Boyer, professeur de radiologie au CHU de Clermont-Ferrand et président du conseil national professionnel de radiologie (G4). Et d'énumérer les nombreux critères à prendre en

Il vous reste 85% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

François Mallordy

Journaliste rédacteur spécialisé

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

09 Mai

16:00

La start-up Chipiron vient de boucler une nouvelle levée de fonds de 15 millions d'euros pour terminer la R & D de sa technologie d'IRM ultra bas champ, rapporte L'Usine digitale. Selon le média, cette levée de fonds permettra notamment de fabriquer un troisième prototype et démarrer des essais cliniques, pour viser une future commercialisation d'abord aux États-Unis, puis en Europe. Il y a deux ans, le cofondateur de Chipiron avait confié à Docteur Imago ses objectifs pour développer une IRM à 1 mT.

13:30

Un nouveau centre d'imagerie médicale a ouvert le lundi 5 mai à Neufchâtel-en-Bray (76), selon le média en ligne actu.fr. Résultant du déménagement d'un cabinet dans de nouveaux locaux, ce changement s'accompagne de l'installation de nouvelles modalités, scanner et IRM.

7:30

La société australienne Telix Pharmaceuticals a annoncé le 29 avril avoir obtenu de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) l'autorisation de mise sur le marché (AMM) en France de son agent de TEP Illuccix®(kit pour la préparation de 68Ga-PSMA-11) pour la détection et la localisation de lésions positives au PSMA chez des patients adultes souffrant de cancer de la prostate (indications précisées dans le communiqué ci-joint).
07 Mai

16:00

La clinique de l’Estrée à Stains (93) s'est dotée d'une IRM à champ ouvert, annonce le groupe Elsan (communiqué).
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR