Burnout : quand le soignant n’y arrive plus

En 2015, la moitié des soignants français estimaient être ou avoir été concernés par le burnout, d’après une étude publiée par l’association Soins aux professionnels de santé. Décrit dans les années soixante-dix par un psychanalyste new-yorkais, le syndrome d’épuisement professionnel se manifeste par une fatigue profonde, un désinvestissement de l'activité professionnelle, et un sentiment d'échec et d'incompétence. Ses facteurs de risques ? Entre autres une charge de travail trop forte, la pression hiérarchique ou un manque de moyens. Ce dossier fait le point sur cette pathologie que les autorités ne reconnaissent pas (encore) comme une maladie professionnelle, mais qui pourrait bien être « le mal du siècle » des soignants.

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Le 09/02/18 à 16:00, mise à jour hier à 15:08

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

08 Août

15:50

L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon va accueillir sa première IRM, avec des travaux d’installation débutant en octobre 2025 pour une mise en service prévue au 30 juin 2027. Ce projet permettra une amélioration significative de la prise en charge des patients, en réduisant notamment le recours aux évacuations sanitaires pour réaliser des examens IRM, annonce le ministère de la santé.

7:13

La conférence internationale de l’International Pediatric Stroke Organization (IPSO2026), pour la prise en charge des AVC pédiatriques se tiendra du 27 au 29 mai prochain à Paris, sous le thème « Inspiring Innovation, Transforming Care and Improving Outcomes in Pediatric Stroke »,
07 Août

15:00

L’atlas de datation des fractures a permis d’améliorer considérablement les performances des radiologues pour la datation des fractures de la clavicule, de l’humérus et du fémur du nourrisson, et peut ainsi servir de substituts pour dater les fractures des os longs couramment rencontrées dans la maltraitance infantile, (étude).

7:00

Une collaboration internationale de sociétés de radiologie thoracique a élaboré des recommandations pour harmoniser l’évaluation des anomalies pulmonaires résiduelles post-COVID-19. Elle préconise un scanner thoracique à faible dose chez les patients présentant des symptômes respiratoires persistants ou progressifs trois mois après l’infection, et recommande l’usage du glossaire de la Fleischner Society. Le terme « anomalie pulmonaire résiduelle post-COVID-19 » doit remplacer « anomalie pulmonaire interstitielle », pour décrire les anomalies pulmonaires au scanner après une pneumonie COVID-19.
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