En 2017, l’Institut national du cancer et la Direction générale de la santé ont demandé à la Haute Autorité de santé (HAS) d’évaluer la performance de la tomosynthèse et l’opportunité de l’intégrer dans le programme de dépistage organisé du cancer du sein. Dans un premier temps, la HAS a dressé un état des lieux des études publiées sur le sujet. Le compte rendu de cette méta-analyse est paru fin novembre 2019.
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