D. I. / Vous êtes à la fois chef du service de neuroradiologie et du service de radiologie des urgences du CHU de Dijon. Est-ce une volonté de votre part ?
F. R. / C’est plutôt le résultat de l’histoire ! Auparavant, il y avait deux hôpitaux à Dijon : l’hôpital du Bocage et l’hôpital général en centre-ville, qui faisait beaucoup de neurologie et où j’ai été nommé chef de service de radiologie. Puis on m’a proposé de prendre la tête du service des urgences. Quand les hôpitaux se sont regroupés, j’ai gardé cette casquette de radiologie des urgences. Je trouve que c’est assez intelligent, car en neurologie, il y a beaucoup d’urgences. Il est donc très pratique d’avoir un pied dans ce domaine. Entre 20 % et 30 % des explorations aux urgences sont faites pour l'imagerie cérébrale.
D. I. / En quoi cette double casquette influence-t-elle l’organisation du service ?
F. R. / Les urgences sont une problématique majeure dans tous les établissements. Pour ma part, j’ai toujours voulu être un faci
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