Gain de temps, aide à la décision, ou encore accélération de la recherche, les grands modèles de langage (LLM) s’imposent peu à peu dans le quotidien des radiologues. C’est ce qu’ont tenté de démontrer Gilles Soulat, PU-PH radiologue à l’université Paris Cité et Maxime Ronot, radiologue à l’hôpital Beaujon-AP-HP à Clichy, lors d’une session interactive tenue dans l’agora des JFR 2025. Les deux intervenants ont partagé à l’audience leur expérience sur les possibles usages de LLM tels que ChatGPT, Gemini ou Perplexity, dans le milieu de la radiologie et leurs pratiques. « Il faut utiliser les LLM, recommande Gilles Soulat, Je pense qu'on n'a pas le choix ».
Enseigner, apprendre et écrire
Les usages des LLM en radiologie sont multiples. Ils peuvent d’abord servir à l’enseignement en générant automatiquement des QCM interactifs, et en préparant des supports pédagogiques adaptés au niveau des étudiants. Mais également à l’apprentissage, « Si vous voulez réviser un cours, vous pouvez l'insérer

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