Dans le diagnostic de l’endométriose, les différentes modalités d’imagerie jouent chacune un rôle clé et bien défini. Lors des JFR 2025, le radiologue Pascal Rousset, PU-PH aux Hospices Civils de Lyon, qui a fait partie du groupe de travail de la Haute Autorité de santé (HAS) sur les recommandations d'imagerie pour l'endométriose, a rappelé, lors d'une session le vendredi 3 octobre, la hiérarchie des différents examens dans la stratégie diagnostique.
L’échographie incontournable
Pour l'endométriose, l’échographie reste la technique de première intention. « L’échographie endovaginale est l’examen de référence, mais on commence toujours par un temps sus-pubien qui a aussi une valeur ajoutée pour repérer les structures dans le pelvis et explorer les reins », indique-t-il. L’échographie endovaginale est recommandée pour le diagnostic des lésions endométriosiques annexielles ou profondes.
Des limites sur l’endométriose superficielle
Pour les compartiments centraux, l’échographie permet de faire
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article