IRM en gynécologie

Les points forts des séquences IRM avancées en gynécologie

Le congrès de la Société d’imagerie de la femme s’est ouvert jeudi 7 juin sur une séance consacrée aux séquences IRM avancées. Le radiologue Marc Bazot a détaillé leurs avantages dans le cadre des pathologies gynécologiques bénignes.

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Le 11/06/18 à 7:00, mise à jour hier à 15:09 Lecture 3 min.

Marc Bazot, radiologue à l’hôpital Tenon (Paris), a présenté différentes séquences morphologiques pour les pathologies gynécologiques bénignes. © C. F.

Pour sa session inaugurale, jeudi 7 juin, le congrès de la Société d’imagerie de la femme (SIFEM) – cette année, il se tenait à Lyon – s’est intéressé aux séquences IRM avancées. Marc Bazot, radiologue à l’hôpital Tenon (Assistance publique – hôpitaux de Paris, AP-HP), a présenté différentes séquences morphologiques utilisées pour l’étude des pathologies gynécologiques bénignes.

Les déclinaisons des séquences 3D

Il a d’abord évoqué les séquences 3D. Ces dernières peuvent être en écho de spin ou en écho de gradient. « En écho de spin, nous privilégions le contraste T2, avec ses données radioanatomiques exceptionnelles. L’intérêt est d’étudier des pathologies pour la détection, la caractérisation, et l’extension quand c’est nécessaire, en particulier quand on parle d’endométriose. »
Les séquences en écho de gradient se répartissent en deux intérêts : « Le contraste T1 avec les séquences multicontrastes pour la différenciation sang/graisse et l’intérêt de la prise de contraste tardive avec

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Carla Ferrand

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