Le 17 septembre, une session du congrès de la SIFEM sur les technologies d’imagerie mammaire s’est intéressée au développement et aux perspectives d’avenir de l’angiomammographie. La première machine d’angiomammographie double énergie a été commercialisée en 2010. Lors de l’examen, une injection d’iode 300 ou 350 mg est réalisée, et des clichés de haute et basse énergie sont effectués au cours de la même compression. « On peut ainsi avoir une étude bilatérale, indique Édouard Poncelet, chef du service d’imagerie de la femme au centre hospitalier de Valenciennes. Les clichés en basse énergie correspondent à un cliché de mammographie classique et l’image recombinée permet d’avoir une suppression du signal de la glande. »
La technique permet de mettre en évidence des lésions tissulaires : « Ce qui est intéressant avec l’angiomammographie, c’est d’avoir l’information 2D classique associée à l’image injectée. On obtient ainsi une vision globale des lésions mammaires tissulaires et cela aide
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