L'exposition des patientes aux produits contrastes et les problématiques de rétention des produits de gadolinium dans le corps, posent un enjeu important quand il s’agit d’injecter une patiente dans le cadre d’un examen d'IRM pelvienne. « Pourquoi est-ce une problématique ?, introduit Laure Fournier, radiologue à Paris, lors du congrès de la SIFEM à la Défense (92) le 12 juin dernier, Parce qu'évidemment, on a vraiment envie de faire le meilleur diagnostic pour nos patientes, mais derrière, il y a des inconvénients potentielles », justifie-t-elle.
« Il existe plein de bonnes raisons de ne pas injecter »
L’injection de produit de contraste vise en effet à optimiser la visualisation des tumeurs et de leur environnement. Pourtant, comme l’a rappelé l’intervenante, « il y a plein de bonnes raisons de ne pas injecter si ce n’est pas indispensable ». Parmi les autres inconvénients évoqués par l’oratrice : des problématiques écologiques liées au recyclage de ces produits, et bien sûr, l’impact
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