AVC hémorragique
« En phase aigüe d’un AVC hémorragique, le scanner est la modalité la plus utilisée »
Pour la première fois, une étude rétrospective d'envergure s'est penchée sur les pratiques d'imagerie aux urgences en France dans le diagnostic des AVC hémorragiques, bien moins étudiés que les AVC ischémiques. Explications de Guillaume Gorincour, dernier auteur de l’étude et directeur scientifique d’Imadis Groupe.
« Notre travail ouvre des pistes pour monter des études prospectives plus puissantes, par exemple pour déterminer s'il est préférable de faire le bilan complet d'emblée pour toutes les suspicions d'AVC hémorragique en scanner injecté, une fois le diagnostic positif fait sur le scanner non injecté. » © Carla Ferrand
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Notes
1 : On estime que les AVC hémorragiques constituent 10 à 20 % des cas d’AVC.
2 : Les pathologies sous-jacentes à l’origine de l’AVC hémorragique secondaire, d’après le compte-rendu radiologique, se répartissaient comme suit : 29,6 % de transformations hémorragiques, 22,2 % de cavernomes cérébraux, 20,4 % de malformations artérioveineuses, 13 % de tumeurs secondaires, 7,4 % de phlébites, 3,7 % d’anévrismes, 1,9 % de tumeurs primaires, et 1,9 % de maladies de Moya Moya.
Auteurs
François Mallordy
Bibliographie
- Mainguy R, Crombe A, Seux M, et al (2024) Assessment of large-scale imaging practices in patients with acute brain hemorrhage in French emergency departments: Emergency imaging practices in hemorrhagic stroke. Journal of Neuroradiology 51:101222. https://doi.org/10.1016/j.neurad.2024.101222.
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