Bonnes pratiques

La radiologie française publie ses recommandations pour la prise en charge du syndrome de congestion pelvienne

Plusieurs sociétés savantes de radiologie viennent de publier des guidelines pour la prise en charge diagnostique et thérapeutique du syndrome de congestion pelvienne. Un groupe de travail y apporte son expertise sur l’évaluation clinique, les caractéristiques en imagerie, le traitement endovasculaire et le suivi des patientes.

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Aujourd'hui à 7:00 Lecture 4 min.

Pour ce qui est de la thérapeutique, les experts soulignent que le traitement endovasculaire est la solution de première intention des SCP symptomatiques. © C. F

Il y a quelques semaines, la Société française d’imagerie cardiaque et vasculaire (SFICV), la Fédération de radiologie interventionnelle (FRI), le Collège des enseignants en radiologie de France (CERF) et la Société d’imagerie de la femme (SIFEM) ont dévoilé leurs recommandations sur la prise en charge du syndrome de congestion pelvienne. Leurs travaux ont été publiés le 30 avril dans la revue Diagnostic and Interventional Imaging.

La SFICV lance la démarche

Ce consensus multi-sociétés, établi à l’initiative de la SFICV, avait pour objectif de réunir les opinions de radiologues et gynécologues français concernant le diagnostic, l’imagerie et le traitement de cette pathologie afin d’améliorer la prise en charge des patientes et guider les pratiques. « Le syndrome de congestion pelvienne (SCP) est une cause majeure de douleur pelvienne chronique chez les femmes en âge de procréer. […] Malgré sa prévalence, le SCP ne fait pas l’objet de protocoles de diagnostic et de prise en charge standar

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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23 Juin

7:30

Les calcifications mammographiques avec une évaluation bénigne sont associées à un risque accru de cancer du sein avancé, au-delà des seins denses et du surpoids. Les femmes ménopausées aux seins denses, à l’IMC supérieure à 25 kg/m2 et aux calcifications présentaient un risque 5,5 fois plus élevé (IC à 95 % : 3,9-7,7), indique une étude publiée dans Breast Cancer Research and Treatment.
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