Journées francophones de radiologie

Les JFR 2024 mettent à l’honneur les dépistages des cancers

Quelques jours avant les JFR 2024, la Société française de radiologie (SFR) organisait une conférence de presse pour présenter les principales thématiques mises à l'honneur au congrès cette année. L'occasion de marquer les 20 ans du dépistage organisé du cancer du sein et d'entrevoir les contours d'un futur dépistage du cancer du poumon.

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Le 20/09/24 à 7:00, mise à jour le 23/09/24 à 14:07 Lecture 3 min.

Marie-Pierre Revel a fait le point sur l’étude prospective CASCADE qui évalue la faisabilité et l’efficacité d’un dépistage du cancer du poumon par scanner basse dose chez des femmes volontaires, avec une simple lecture assistée par intelligence artificielle. © Carla Ferrand

La traditionnelle conférence de presse d’annonce des Journées francophones de radiologie (JFR) 2024, le 12 septembre, a mis en avant le rôle central du radiologue dans le dépistage des cancers. « S’orienter vers le dépistage, la médecine préventive et prédictive, c’est assurer la soutenabilité des soins, car lorsqu’on fait le dépistage de ces pathologies à un stade précoce, on est plus efficace dans la thérapeutique et cela coûte moins cher », a rappelé Marie-France Bellin, la présidente de la Société française de radiologie (SFR).

L’union sacrée autour du dépistage du cancer du sein

C’est notamment le cas dans le dépistage du cancer du sein, dont le programme organisé fête ses 20 ans cette année. Le dispositif est dans une période de transition, puisque les centres régionaux de coordination des dépistages (CRCDC) ont passé le relais à l’Assurance maladie pour l’envoi des invitations. « Nous espérons que l’évolution du programme va aller dans le bon sens, même si l’Assurance maladie

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Carla Ferrand

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Des chercheurs ont examiné l’association entre la charge allostatique (AL), un indicateur de dysrégulation physiologique liée au stress, et la présence de pathologie maligne lors de biopsies mammaires guidées par imagerie. Les résultats suggèrent qu’une AL plus élevée est liée à un risque accru de pathologie maligne, ce qui pourrait guider des stratégies de dépistage personnalisées, indique une étude publiée dans JACR.

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