L’angioscanner est considéré comme la modalité de choix en cas de suspicion d’EP aiguë, quand cette dernière ne peut être éliminée préalablement par les éléments cliniques ou le dosage des D-dimères. Alors que cet examen peut fournir de nombreuses informations cliniques, fonctionnelles et pronostiques susceptibles de guider le traitement initial et d’affiner ou changer le diagnostic, il n’existait pas encore de standards formels pour sa réalisation et son compte rendu. C’est désormais chose faite : une déclaration de consensus de plusieurs sociétés savantes internationales à ce sujet est parue le 3 juin dans Radiology [1].
La société Fleischner et l'ESC à la barre
Dans le détail, cette déclaration sur la réalisation et le compte rendu de l’angioscanner en suspicion d’EP aiguë a été réalisée sous l’égide de quatre organisations : la société Fleischner (une société savante internationale dédiée à la radiologie thoracique), l’Association européenne d’imagerie cardiovasculaire (EACVI) de la
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